Le genre cigale / Dans le cadre du Festival À Corps

Interprétation étudiants de l’Atelier de recherche chorégraphique de l’université de Poitiers

Dérivé du solo canicular, Le genre cigale s’envisage comme une démultiplication de ce portrait de femme-cigale carbonisée par la chaleur estivale. Provoqué par la vibration de leurs membranes, le chant des cigales suit la courbe des températures, devenant un indicateur de chaleur. De la même façon qu’il faut un certain niveau de chaleur pour que les cigales se mettent à chanter, on imagine ici que, passé un autre niveau de chaleur, une bascule s’opère et une métamorphose s’amorce: une mutation collective.

•  Création au TAP